Lalali lalala
lilala et voilà
Je ne serai toujours qu’une étrangère Qui à peine lis ta langue sans bégayer Qui à peine chante quand elle la parle Avec son accent particulier. Mais je m’imprègne dans tes desseins Dans la délicatesse de tes pensées Que maladroite, je mélange avec les miens. Tu as tous les rythmes Toutes les strophes combinées Toutes les mesures et les rimes Beauté et musique entrelacées. Verse des torrents de lumière Sur mes poèmes d’aujourd’hui et d’hier Et tu connaîtras la force de mon âme Qui pour toi déclame. Mabel